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Mettez 5 chimpanzés dans une chambre...
Accrochez une banane au plafond et mettez une échelle permettant d'accéder à la banane.
Assurez-vous qu'il n'y a pas d'autre moyen d'attraper la banane que d'utiliser l'échelle.
Mettez en place un système qui fait tomber de l'eau très glacée dans toute la chambre (par le plafond bien sûr) dès qu'on commence à escalader l'échelle.
Les chimpanzés apprennent vite qu'il ne faut pas escalader l'échelle.
Arrêtez le système d'eau glacée, de sorte que l'escalade n'a plus son effet gelé.
Maintenant, remplacez l'un des chimpanzés par un nouveau.
Ce dernier va chercher à escalader et sans comprendre pourquoi, se fera tabasser par les autres. Remplacez encore un des vieux chimpanzés par un nouveau.
Ce dernier se fera encore tabasser, et c'est le chimpanzé No 6 (celui qui a été introduit juste avant) qui tapera le plus fort.
Continuez le processus jusqu'à ce qu'il n'y ait plus que des nouveaux.
Alors, aucun ne cherchera à escalader l'échelle et si jamais il y en a un qui pour une raison quelconque ose y penser, il se fait massacrer illico presto par les autres.
Le pire, c'est qu'aucun des chimpanzés n'a la moindre idée sur le pourquoi de la chose.
C'est ainsi que le fonctionnement et la culture d'entreprise prennent naissance.
Accrochez une banane au plafond et mettez une échelle permettant d'accéder à la banane.
Assurez-vous qu'il n'y a pas d'autre moyen d'attraper la banane que d'utiliser l'échelle.
Mettez en place un système qui fait tomber de l'eau très glacée dans toute la chambre (par le plafond bien sûr) dès qu'on commence à escalader l'échelle.
Les chimpanzés apprennent vite qu'il ne faut pas escalader l'échelle.
Arrêtez le système d'eau glacée, de sorte que l'escalade n'a plus son effet gelé.
Maintenant, remplacez l'un des chimpanzés par un nouveau.
Ce dernier va chercher à escalader et sans comprendre pourquoi, se fera tabasser par les autres. Remplacez encore un des vieux chimpanzés par un nouveau.
Ce dernier se fera encore tabasser, et c'est le chimpanzé No 6 (celui qui a été introduit juste avant) qui tapera le plus fort.
Continuez le processus jusqu'à ce qu'il n'y ait plus que des nouveaux.
Alors, aucun ne cherchera à escalader l'échelle et si jamais il y en a un qui pour une raison quelconque ose y penser, il se fait massacrer illico presto par les autres.
Le pire, c'est qu'aucun des chimpanzés n'a la moindre idée sur le pourquoi de la chose.
C'est ainsi que le fonctionnement et la culture d'entreprise prennent naissance.
Dans un cottage anglais, un vieux couple est assis près du feu. Le mari lit son journal pendant que sa femme boit le thé.
- Darling ?
- Hmmm ?
- Darling, si jamais je venais à mourir, penseriez-vous à vous remarier ?
- Oh ! my goodness, je crois bien que oui, à vrai dire !
Quelques gorgées de thé plus tard :
- Darling ?
- Hmmm ?
- Darling, si jamais vous vous remariiez, habiteriez-vous notre maison avec votre nouvelle femme ?
- Oh ! my goodness, je crois bien que oui, à vrai dire !
La tasse de thé bue entièrement :
- Darling ?
- Hmmm ?
- Darling, si jamais vous jouiez au golf avec votre nouvelle femme, utiliseriez-vous mes clubs de golf ?
- Oh ! my goodness, certainement pas, elle est gauchère !
- Darling ?
- Hmmm ?
- Darling, si jamais je venais à mourir, penseriez-vous à vous remarier ?
- Oh ! my goodness, je crois bien que oui, à vrai dire !
Quelques gorgées de thé plus tard :
- Darling ?
- Hmmm ?
- Darling, si jamais vous vous remariiez, habiteriez-vous notre maison avec votre nouvelle femme ?
- Oh ! my goodness, je crois bien que oui, à vrai dire !
La tasse de thé bue entièrement :
- Darling ?
- Hmmm ?
- Darling, si jamais vous jouiez au golf avec votre nouvelle femme, utiliseriez-vous mes clubs de golf ?
- Oh ! my goodness, certainement pas, elle est gauchère !
Lors d'un voyage de nuit en train, un homme et une femme, tous deux mariés (mais pas l'un à l'autre) et ne se connaissant pas, se retrouvent dans le même compartiment d'un wagon-lit.
Ils sont tous deux très fatigués et bien qu'un peu embarrassés de partager le wagon avec un étranger, ils se mettent immédiatement au lit, lui dans le lit du haut, elle en dessous.
Vers une heure du matin, l'homme se penche vers le bas, réveille doucement la dame et lui dit :
- Madame, excusez-moi de vous déranger, mais vous serait-il possible de me prendre une couverture dans le placard à côté de vous ? J'ai froid.
- J'ai une meilleure idée, lui répond-elle, juste pour cette nuit faisons comme si nous étions mariés.
- Waouh !... C'est une super idée ! s'exclame-t-il tout émoustillé. Je suis tout à fait d'accord.
- Et bien, dit-elle, prend ta putain de couverture toi-même.
Ils sont tous deux très fatigués et bien qu'un peu embarrassés de partager le wagon avec un étranger, ils se mettent immédiatement au lit, lui dans le lit du haut, elle en dessous.
Vers une heure du matin, l'homme se penche vers le bas, réveille doucement la dame et lui dit :
- Madame, excusez-moi de vous déranger, mais vous serait-il possible de me prendre une couverture dans le placard à côté de vous ? J'ai froid.
- J'ai une meilleure idée, lui répond-elle, juste pour cette nuit faisons comme si nous étions mariés.
- Waouh !... C'est une super idée ! s'exclame-t-il tout émoustillé. Je suis tout à fait d'accord.
- Et bien, dit-elle, prend ta putain de couverture toi-même.
Ca se passe dans un village qui vit du tourisme, sauf qu'à cause de la crise il n'y a plus de touristes. Tout le monde emprunte à tout le monde pour survivre.
Plusieurs mois passent, misérables. Arrive enfin un touriste qui prend une chambre. Il la paie avec un billet de 100 €.
Le touriste n'est pas plutôt monté à sa chambre que l'hôtelier court porter le billet chez le boucher, à qui il doit justement cent euros.
Le boucher va aussitôt porter le même billet au paysan qui l'approvisionne en viande.
Le paysan, à son tour, se dépêche d'aller payer sa dette à la fille de joie à laquelle il doit quelques passes.
Celle ci boucle la boucle en se rendant à l'hôtel pour rembourser l'hôtelier qu'elle ne payait plus quand elle prenait une chambre à l'heure.
Comme elle dépose le billet de 100 € sur le comptoir, le touriste, qui venait dire à l'hôtelier qu'il n'aimait pas sa chambre et n'en voulait plus, ramasse son billet et disparaît.
Rien n'a été dépensé, ni gagné, ni perdu.
N'empêche que plus personne dans le village n'a de dettes.
N'est-ce pas ainsi qu'on est en train de résoudre la crise mondiale ?
Plusieurs mois passent, misérables. Arrive enfin un touriste qui prend une chambre. Il la paie avec un billet de 100 €.
Le touriste n'est pas plutôt monté à sa chambre que l'hôtelier court porter le billet chez le boucher, à qui il doit justement cent euros.
Le boucher va aussitôt porter le même billet au paysan qui l'approvisionne en viande.
Le paysan, à son tour, se dépêche d'aller payer sa dette à la fille de joie à laquelle il doit quelques passes.
Celle ci boucle la boucle en se rendant à l'hôtel pour rembourser l'hôtelier qu'elle ne payait plus quand elle prenait une chambre à l'heure.
Comme elle dépose le billet de 100 € sur le comptoir, le touriste, qui venait dire à l'hôtelier qu'il n'aimait pas sa chambre et n'en voulait plus, ramasse son billet et disparaît.
Rien n'a été dépensé, ni gagné, ni perdu.
N'empêche que plus personne dans le village n'a de dettes.
N'est-ce pas ainsi qu'on est en train de résoudre la crise mondiale ?
C'est un gars sur son lit de mort. Toute la famille est à son chevet : sa femme et les quatre enfants. Il y a 3 garçons beaux, grands, robustes, et le quatrième tout rachitique et moche comme un pou. Le mourant se tourne vers sa femme et lui demande dans un soupir :
- Chérie, avant que je meure, jure-moi que notre quatrième fils est bien de moi. Dis-moi la vérité, je veux le savoir avant de mourir. Je te pardonnerai de toute façon, mais je veux savoir !
Sa femme lui pose l'index sur les lèvres et le rassure :
- Chhhuuut. Bien sûr mon chéri qu'il est de toi. Je te le jure sur la tombe de ma mère !
Et l'homme s'éteint, heureux...
Alors sa femme murmure entre ses dents :
- Heureusement qu'il ne m'a pas demandé s'il était le père des trois autres...
Deux condamnés à mort, avant leur exécution reçoivent la visite du directeur de prison. Il leur demande ce qu'ils aimeraient avant de mourir.
Le premier demande à entendre une chanson de Céline Dion. Le directeur le lui accorde.
Au second, même question, qu'aimeriez vous avant de partir...
Faites moi passer le premier.
Accordé.
- Chérie, avant que je meure, jure-moi que notre quatrième fils est bien de moi. Dis-moi la vérité, je veux le savoir avant de mourir. Je te pardonnerai de toute façon, mais je veux savoir !
Sa femme lui pose l'index sur les lèvres et le rassure :
- Chhhuuut. Bien sûr mon chéri qu'il est de toi. Je te le jure sur la tombe de ma mère !
Et l'homme s'éteint, heureux...
Alors sa femme murmure entre ses dents :
- Heureusement qu'il ne m'a pas demandé s'il était le père des trois autres...
Deux condamnés à mort, avant leur exécution reçoivent la visite du directeur de prison. Il leur demande ce qu'ils aimeraient avant de mourir.
Le premier demande à entendre une chanson de Céline Dion. Le directeur le lui accorde.
Au second, même question, qu'aimeriez vous avant de partir...
Faites moi passer le premier.
Accordé.
C'était noté 14,9 sur 20.....
Est-ce que ça valait le coup de vous demander la note que vous mettrez ?
Nous connaissons tous ces petits symboles faits avec les caractères du clavier de notre mobile appelés "smileys" parmi lesquels, par exemple :
signifie un sourire (regarder en penchant la tête 90° à gauche),
est un signe de tristesse
Mais connais-tu les "culeys" ? En voici quelques-uns (plus besoin de se pencher) :
(_!_) Un cul normal...
(__!__) Un gros cul...
(!) Un cul mince...
(_._) Un cul plat...
(_*_) Un cul à rosace...
{_!_} Un cul ridé...
(_o_) Un cul avec beaucoup de "kilométrage"...
(_O_) Un cul avec encore plus de "kilométrage" ..
(_X_) Un cul censuré...
(_$_) Un cul de grande valeur...
[_T_] Un cul très "carré"...
(_:_) Un cul très étrange...
(_@_) Un cybercul...
(_?_) Un cul mystérieux...
(_#_) Un cul blessé...
(__) Un cul ferme...
(_%_) Un cul a hémorroïdes...
Et il y a aussi les "nibarleys" maintenant...
(o)(o) seins parfaits
( + )( + ) seins en silicone
(*)(*) seins avec tétons hauts
(@)(@) seins avec grands tétons
(oYo) seins "push-up"
(^)(^) seins ayant froid
(o)(O) seins dépareillés
(Surprised)(o) seins mordus par un vampire
\o/\o/ les seins de la grand-mère
( - )( - ) seins aplatis contre la porte de la douche
|o||o| seins d'androïde
()() seins de Kate Moss
( o Y o ) seins pour poser dans Playboy
Est-ce que ça valait le coup de vous demander la note que vous mettrez ?
Nous connaissons tous ces petits symboles faits avec les caractères du clavier de notre mobile appelés "smileys" parmi lesquels, par exemple :


Mais connais-tu les "culeys" ? En voici quelques-uns (plus besoin de se pencher) :
(_!_) Un cul normal...
(__!__) Un gros cul...
(!) Un cul mince...
(_._) Un cul plat...
(_*_) Un cul à rosace...
{_!_} Un cul ridé...
(_o_) Un cul avec beaucoup de "kilométrage"...
(_O_) Un cul avec encore plus de "kilométrage" ..
(_X_) Un cul censuré...
(_$_) Un cul de grande valeur...
[_T_] Un cul très "carré"...
(_:_) Un cul très étrange...
(_@_) Un cybercul...
(_?_) Un cul mystérieux...
(_#_) Un cul blessé...
(__) Un cul ferme...
(_%_) Un cul a hémorroïdes...
Et il y a aussi les "nibarleys" maintenant...
(o)(o) seins parfaits
( + )( + ) seins en silicone
(*)(*) seins avec tétons hauts
(@)(@) seins avec grands tétons
(oYo) seins "push-up"
(^)(^) seins ayant froid
(o)(O) seins dépareillés
(Surprised)(o) seins mordus par un vampire
\o/\o/ les seins de la grand-mère
( - )( - ) seins aplatis contre la porte de la douche
|o||o| seins d'androïde
()() seins de Kate Moss
( o Y o ) seins pour poser dans Playboy
Retour à l'école....
La raison du plus fort est toujours la meilleure :
Nous l'allons montrer tout à l'heure.
Un Agneau se désaltérait
Dans le courant d'une onde pure.
Un Loup survient à jeun qui cherchait aventure,
Et que la faim en ces lieux attirait.
Qui te rend si hardi de troubler mon breuvage ?
Dit cet animal plein de rage :
Tu seras châtié de ta témérité.
— Sire, répond l'Agneau, que votre Majesté
Ne se mette pas en colère ;
Mais plutôt qu'elle considère
Que je me vas désaltérant
Dans le courant,
Plus de vingt pas au-dessous d'Elle,
Et que par conséquent, en aucune façon,
Je ne puis troubler sa boisson.
— Tu la troubles, reprit cette bête cruelle,
Et je sais que de moi tu médis l'an passé.
— Comment l'aurais-je fait si je n'étais pas né ?
Reprit l'Agneau, je tette encor ma mère.
— Si ce n'est toi, c'est donc ton frère.
— Je n'en ai point.
— C'est donc quelqu'un des tiens :
Car vous ne m'épargnez guère,
Vous, vos bergers, et vos chiens.
On me l'a dit : il faut que je me venge.
Là-dessus, au fond des forêts
Le Loup l'emporte, et puis le mange,
Sans autre forme de procès.
La raison du plus fort est toujours la meilleure :
Nous l'allons montrer tout à l'heure.
Un Agneau se désaltérait
Dans le courant d'une onde pure.
Un Loup survient à jeun qui cherchait aventure,
Et que la faim en ces lieux attirait.
Qui te rend si hardi de troubler mon breuvage ?
Dit cet animal plein de rage :
Tu seras châtié de ta témérité.
— Sire, répond l'Agneau, que votre Majesté
Ne se mette pas en colère ;
Mais plutôt qu'elle considère
Que je me vas désaltérant
Dans le courant,
Plus de vingt pas au-dessous d'Elle,
Et que par conséquent, en aucune façon,
Je ne puis troubler sa boisson.
— Tu la troubles, reprit cette bête cruelle,
Et je sais que de moi tu médis l'an passé.
— Comment l'aurais-je fait si je n'étais pas né ?
Reprit l'Agneau, je tette encor ma mère.
— Si ce n'est toi, c'est donc ton frère.
— Je n'en ai point.
— C'est donc quelqu'un des tiens :
Car vous ne m'épargnez guère,
Vous, vos bergers, et vos chiens.
On me l'a dit : il faut que je me venge.
Là-dessus, au fond des forêts
Le Loup l'emporte, et puis le mange,
Sans autre forme de procès.
– L’argent ne fait pas le bonheur mais il est plus confortable de pleurer en Mercedes qu’à vélo.
– Pardonne à ton ennemi mais n’oublie jamais le nom de ce con.
– Aide ton prochain quand il est dans la merde et il se souviendra de toi quand il y sera à nouveau.
– Beaucoup de gens sont en vie seulement parce qu’il est illégal de les tuer.
– L’alcool ne résout pas les problèmes … mais le lait non plus.
**********
Un prêtre sonne chez les parents du petit Antoine, qui ouvre la porte.
> > > > > > > > > > > > > > > > Le prêtre dit :
– Je t’apporte clarté et lumière …
Antoine appelle sa mère :
– Maman, c’est l’EDF !
*********
Une dame se penche du haut de la Tour Eiffel et demande au gardien :
– Les gens se jettent-ils souvent d’en haut?
Et le gardien répond :
Oh non! Madame, une seule fois …
**********
> > > > > > > > > > > > > > > > Un couple de campagnards ‘monte’ à Paris pour faire un peu de tourisme.
A la Porte Maillot, il prend un bus pour aller au musée du Louvre.
> > > > > > > > > > > > > > > > Arrivé à la place de l’Etoile, le chauffeur lance :
> > > > > > > > > > > > > > > > – Charles de Gaulle !
> > > > > > > > > > > > > > > > Un grand monsieur descend du bus
> > > > > > > > > > > > > > > > Le bus prend alors la direction des Champs-Elysées et, à l’arrêt du rond-point, le conducteur crie :
> > > > > > > > > > > > > > > > – Franklin Roosevelt !
> > > > > > > > > > > > > > > > Un étudiant se lève et descend. A la nouvelle halte au niveau du Grand Palais :
> > > > > > > > > > > > > > > > – Georges Clemenceau !
> > > > > > > > > > > > > > > > Un vieux monsieur quitte le bus. Alors, la campagnarde dit à son mari :
> > > > > > > > > > > > > > > > – On ne saura jamais où descendre ; on n’a pas donné notre nom au chauffeur.
**********
– Pardonne à ton ennemi mais n’oublie jamais le nom de ce con.
– Aide ton prochain quand il est dans la merde et il se souviendra de toi quand il y sera à nouveau.
– Beaucoup de gens sont en vie seulement parce qu’il est illégal de les tuer.
– L’alcool ne résout pas les problèmes … mais le lait non plus.
**********
Un prêtre sonne chez les parents du petit Antoine, qui ouvre la porte.
> > > > > > > > > > > > > > > > Le prêtre dit :
– Je t’apporte clarté et lumière …
Antoine appelle sa mère :
– Maman, c’est l’EDF !
*********
Une dame se penche du haut de la Tour Eiffel et demande au gardien :
– Les gens se jettent-ils souvent d’en haut?
Et le gardien répond :
Oh non! Madame, une seule fois …
**********
> > > > > > > > > > > > > > > > Un couple de campagnards ‘monte’ à Paris pour faire un peu de tourisme.
A la Porte Maillot, il prend un bus pour aller au musée du Louvre.
> > > > > > > > > > > > > > > > Arrivé à la place de l’Etoile, le chauffeur lance :
> > > > > > > > > > > > > > > > – Charles de Gaulle !
> > > > > > > > > > > > > > > > Un grand monsieur descend du bus
> > > > > > > > > > > > > > > > Le bus prend alors la direction des Champs-Elysées et, à l’arrêt du rond-point, le conducteur crie :
> > > > > > > > > > > > > > > > – Franklin Roosevelt !
> > > > > > > > > > > > > > > > Un étudiant se lève et descend. A la nouvelle halte au niveau du Grand Palais :
> > > > > > > > > > > > > > > > – Georges Clemenceau !
> > > > > > > > > > > > > > > > Un vieux monsieur quitte le bus. Alors, la campagnarde dit à son mari :
> > > > > > > > > > > > > > > > – On ne saura jamais où descendre ; on n’a pas donné notre nom au chauffeur.
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